Le PeuSeuGeu

N'importe quoi cette gestion des supp'...

En gros moi j'allais a LENS, je finissais en GAV...

Quand est ce qu'ils vont comprendre que de tte façon ces mecs à 99% ne sont pas des supp' du PSG dans le sens ou on l'entend, c'est a dire a chanter dans les tribunes et suivre un match...

Ces mecs pour la plupart il rentrent même pas dans le Stade, ils se deplacent seul et pas de manière officielle avec les autres... Ils tournent autour du Parc et s'en tapent du match.
Ce sont des voyous...
On les arrette, on les sanctionne lourdement comme n'importe quel voyou et déja on aura fait des progrès ( l'interdiction de Stade simple est un leurre comme solution )

C'est pas en mettant en place le DELIT DE SUPP' DU PSG a grande echelle sans distinction qu'ils vont regler l'affaire...

C'est exactement ce que j'avais dit la semaine dernière. Cette décision risque seulement de déplacer le problème.

MOuNtaKHab a écrit:Bien joué Greg Akcelrod....

Il m'a un peu fait penser à Rémi Gaillard sur le coup

De belles conneries de la part de Busta, rien à changé ici

La banderole Auteuil c'est renversant n'est pas drôle et débile. Elle ne fait rire que toi.

Sinon voilà, plus trop envie de parler ballon, le soucis nous ronge de l'intérieur donc c'est vrai qu'on reste un peu "entre parisiens", on lave son linge sale en famille. Et là le linge est très sale.

Concernant le PSG OM, rien à dire de folichon, le plus consternant pour moi s'est passé en tribune. Que dire ? On prend tout simplement la branlée qu'on mérite.

Et merci siouplé de pas faire d'amalgame trop rapide du genre "on voit bien les fachos" ou j'sais pu c'que j'ai pu lire comme connerie 2 3 pages avant. Un peu de respect pour les gens qui supportent ce club . Et je n'ai jamais vu de cranes rasés chez les LF, un peu de culture ne fais pas de mal.

Bisounours

Edit : Greg Akcelrod très connu sur mon forum de parigots, c'est chez "nous" que les fans bulgare étaient venus se renseigner . Mais étonnant, l'histoire remonte à déjà plus d'un an, quelle réactivité chez les "journalistes"

Elle ne fait peut-être pas rire les aigris du Parc mais autour de moi ça a pas mal fait jaser, de la même façon qu'on s'est bien marré en voyant au JT les brigands en pleine descente se faire savater par la populace du Boulevard d'Athènes qu'on connaît bien, encore une fois certains ont eu ce qu'ils méritaient et ça a fait plaisir à beaucoup de monde, alors cette banderole c'est que des bons souvenirs en quelque sorte

Communiqué de la LFP
Le match Nice-PSG (29e journée
de Ligue 1) se déroulera à huis clos.
Le club de l'OGC Nice avait
été sanctionné d'un match à huis clos suite aux incidents de la
rencontre Monaco-Nice du 30 janvier (22e journée de Ligue 1). Réunie le
mercredi 10 mars, la Commission des Compétitions a décidé, en
concertation avec le Ministère de l'Intérieur, que cette sanction sera
appliquée lors de la rencontre Nice-PSG comptant pour la 29e journée de
Ligue 1.

En une unique fois, on élimine un "déplacement" pour les parisiens, un match à haut risques dans les tribunes et en dehors et un risque de voir des indép' parisiens faire une pause à Marseille histoire de se "venger" avant d'aller tenter d'entrer au Ray.
Et c'est une décision de la LFP vous dites ? Je savais pas que le siège avait été déplacé place Beauveau.

http://www.lequipe.fr/Football/breves2010/20100312_113438_auteuil-boycottera-sochaux.html

Cette décision est justifiée par les signataires «par la problématique du racisme» qui «gangrène» selon eux le club parisien. [....] Le communiqué donne acte à la direction du club de sa condamnation des incidents mais regrette qu'«elle (n'ait) pas eu un mot pour soutenir ses innombrables abonnés victimes de cette ratonnade géante et préméditée.»

Mais à part ça, le racisme est un épiphénomène au Parc Quel public, mais quel public

C'est Boulogne, c'est harchi connu mais tout le monde ferme les yeux

Drogba a écrit:C'est Boulogne, c'est harchi connu mais tout le monde ferme les yeux

+1
Ca ne changera jamais....

Le Monde de ce jour
LES TRIBUNES DE LA HAINE

Cette histoire, violente, est faite
de règles non écrites, de codes tribaux difficilement compréhensibles.
Elle raconte l'affrontement de deux tribunes, deux virages qui se
défient, au Parc des Princes, le stade du PSG. Un homme, Yann L., en
est aujourd'hui la victime. Il est dans le coma depuis le 28 février,
jour d'un sombre sommet du football, un PSG-OM de triste facture. Tous
les spécialistes des violences urbaines redoutent désormais de
nouvelles violences, sur fond de vengeance. Le Parc des Princes devait
être placé sous haute surveillance lors du match PSG-Sochaux, samedi 13
mars. Les trois principales associations de supporteurs du virage
Auteuil - les Supras, les Authentiks, la Grinta - ont appelé leurs
membres, dans un communiqué publié vendredi 12 mars, à boycotter le
match.Deux tribunes, donc, Auteuil et Boulogne, et des querelles
de légitimité. Boulogne se veut la tribune historique, à majorité
blanche ; l'autre, Auteuil, plus récente, plus mixte, notamment chez
les Supras, sa principale association de supporteurs. L'une et l'autre
sont travaillées par des influences politiques viscéralement opposées,
dans des proportions inégales. A Boulogne, la culture d'extrême droite
a toujours été présente. A Auteuil, l'extrême gauche a récemment mis un
(petit) pied. A un bout du stade, on dit " les racailles " pour désigner les vis-à-vis. En face, on nomme les autres " les nazis ".Dimanche
28 février, à l'occasion du match PSG-OM et en l'absence des
supporteurs marseillais, honnis par les deux camps, l'antagonisme, qui
montait depuis plusieurs mois entre les deux tribunes, a fait un blessé
grave : Yann L., 38 ans, membre de longue date de la tribune Boulogne.
La haine a encore franchi un cap. La méfiance est de mise côté
Boulogne. Côté Auteuil, c'est la peur. Tous les témoins interrogés par Le Monde sont
des protagonistes de cette histoire. Dans l'ambiance très tendue qui
règne aujourd'hui entre les deux camps, ils ont accepté de s'exprimer,
à condition de conserver l'anonymat.Tout commence donc, dans
l'après-midi du 28 février. Selon différents témoignages de supporteurs
des deux camps, plusieurs dizaines de membres de Boulogne se donnent
rendez-vous, au Park's Boulevard, un café devenu leur nouveau lieu de
rassemblement, près du Parc des Princes, dans le 16e arrondissement de
Paris. La plupart sont des " indép'", c'est-à-dire des " indépendants
", ces supporteurs les plus proches de la culture hooligan anglaise :
adeptes de la violence, ils sont souvent " casual ". Autrement
dit habillés de manière neutre pour ne pas se faire repérer par les
forces de l'ordre. Certains d'entre eux font partie d'une structure
informelle appelée la Casual Firm.D'autres, très politisés,
appartiennent à un autre groupe : la Milice Paris. A l'intérieur et à
la périphérie immédiate de ce groupe évoluent des militants d'extrême
droite radicale : membres du Projet Apache (branche jeunesse à Paris du
Bloc identitaire) et " nationalistes autonomes ". C'est par eux que
s'opère la repolitisation de la tribune Boulogne depuis la dissolution
des Boulogne Boys en 2008, après l'affaire de la banderole hostile aux
Ch'tis. Dans cet agglomérat, " indép'" purs et militants d'extrême
droite, qui se forme aux abords du Parc ce jour-là, un nombre non
négligeable " d'interdits de stades est présent ", indique un compagnon de route des nationalistes autonomes. En l'absence des supporteurs marseillais, rebaptisés " les rats " par les ultras parisiens, " fallait bien passer ses nerfs sur quelque chose ",
explique-t-il. Durant toute l'après-midi, les bières s'enchaînent. Et
les esprits s'échauffent. Un membre d'Auteuil dit les avoir entendus
lancer " des slogans nazis " et " passer leur après-midi à faire leur folklore dégueulasse ".Peu avant 20 heures, soit une heure avant le coup d'envoi, un groupe désormais gros de " 200 personnes "
de la tribune Boulogne quitte les abords du bar. Yann L. en fait
partie. C'est un des fondateurs de la Casual Firm, même si, assure-t-on
à Boulogne, il était " un peu rangé des voitures " depuis quelques années, ce que confirment des sources policières.
" C'était pas un truc prémédité. L'abus d'alcool y est pour beaucoup
là-dedans. Les mecs se sont dits : "On y va, on va s'expliquer" ", raconte un proche des durs de Boulogne.Le
dispositif policier impressionnant les oblige à passer par une petite
rue pour se diriger vers la tribune Auteuil, où des gens de couleur
sont pris à partie et molestés. " Ils sont arrivés et ont commencé
à taper tout le monde en criant des insultes racistes comme "ils sont
où les bougnoules ? ", "ils sont où les négros ?", assure un supporteur d'Auteuil présent sur place. Les gens d'Auteuil ont d'abord eu peur, un sentiment d'effroi. D'où l'ampleur de la réaction. " Après
avoir reculé, ces derniers contre-attaquent. Dans la bagarre, certains,
frappés, tombent. Dont Yann L., en première ligne, côté Boulogne."
J'ai alors vu une nuée de personnes qui frappait quelqu'un déjà à
terre. Quand je me suis approché, des policiers en civil intervenaient
", continue le même supporteur d'Auteuil. Dans les deux camps, on accuse les policiers de passivité lors des affrontements, " un fiasco ", selon Robin Leproux, président du PSG depuis octobre.Depuis,
la tribune Boulogne est suspendue aux nouvelles de Yann L. et rumine sa
vengeance. Les Supras d'Auteuil y sont décrits comme " sans foi ni loi ", " intervenant à quarante contre un contre une personne à terre ", au mépris d'un code de l'honneur que Boulogne se targue de respecter. Cette tribune oppose sa violence, celle des fights à la façon des hooligans anglais, à celle d'Auteuil, qu'elle qualifie de " violences urbaines ". " C'est quoi leur code de l'honneur ? Frapper des gens qu'ils ne connaissent pas ? ", s'insurge-t-on à Auteuil. "
Cela va aller de plus en plus mal. Cela ne sert à rien de nous
interdire l'accès aux matches à l'extérieur. On réglera nos comptes au
Parc, et si on ne le peut pas, on le fera ailleurs ", avertit un pilier de Boulogne.Du côté Supras d'Auteuil, justement, on craint des représailles que l'on juge " inévitables ". " On va se préparer au pire : on va être groupés et massifs pour éviter qu'ils reviennent près de notre tribune ", prévient un proche des Supras, bon connaisseur du milieu. D'autres disent redouter des actions " plus ciblées "
ou des visites à leur domicile. Entre eux, ils font état de SMS de
menaces, de mots dans des boîtes aux lettres allant dans ce sens.
Malgré les 200 interdictions de stade qui sont tombées depuis le match
et les 40 supplémentaires encore à l'étude, rien ne semble pour le
moment devoir arrêter la mauvaise spirale à l'oeuvre depuis des mois
déjà.Le 9 mai 2009, les " indép'" de Boulogne sont présents en
nombre au grand rendez-vous annuel et identitaire de l'extrême droite
radicale parisienne : l'hommage rendu à Sébastien Deyzieu, jeune
militant de cette mouvance, mort en 1994 en tombant d'un toit. Selon
des sources policières, certains d'entre eux, en marge de la
commémoration, " se font attaquer par des gens d'Auteuil plutôt d'extrême gauche ".
Ces incidents ont eu lieu dans le quartier Pernety, dans le 14e
arrondissement parisien, où, par ailleurs, des participants ont agressé
des passants noirs.Le 5 décembre 2009, à Bordeaux, les deux camps attendent ensemble de pouvoir entrer dans le stade. "
Les Supras ont lancé des chants d'Auteuil, alors que la règle, quand on
est ensemble au parcage, c'est d'avoir des chants communs ",
raconte un membre de Boulogne. Ce micro-événement, a priori
insignifiant, suffit à déclencher une bagarre. Ce jour-là, Boulogne est
en infériorité numérique - " les indépendants n'avaient pas fait le déplacement "
-, et l'un de ses membres, qui arborait une croix celtique, se fait
agresser. Le 16 janvier, à Lille, les " indép'" sont là et le vengent
en tribune. La dernière manche aura lieu lors du PSG-OM du 28 février.En réalité, pour Sébastien Louis, historien, spécialiste des supporteurs ultras, "
tout commence en 1991 quand Auteuil est créée puis financée par Canal ,
l'actionnaire de l'époque du PSG, pour redonner une dynamique. Face à
Auteuil, qui représente une jeunesse diversifiée de culture hip-hop,
certaines personnes, à Boulogne, se radicalisent. Depuis, il y a une
nouvelle vague, très jeune, plus violente ". Selon ce spécialiste, la dissolution des Boulogne Boys a été " une grande erreur de la part du gouvernement "
: elle a permis une dispersion des personnes, laissant le champ libre
aux éléments les plus radicaux. Ceux-là mêmes qui se vivent en "
rempart " face à Auteuil, qui souhaiterait " faire la loi au stade "."
Nous, on est les plus anciens. Il y a un minimum de respect à avoir.
Auteuil veut la suprématie. Nous, on se laissera pas faire ", explique-t-on côté Boulogne. "
C'est le dernier bastion du fascisme à Paris. C'est juste un truc de
bourrins. Boulogne demande moins de drapeaux algériens. Nous, moins de
bras tendus ", rétorque-t-on à Auteuil, où l'on explique que l'époque a changé : " On a grandi, maintenant on répond. "Michel Lepoix, ancien coordinateur national chargé du football au ministère de l'intérieur, constate "
une logique de clans, de bandes. Cela ne concerne pas tout le monde,
mais entre 150 et 200 personnes. Dans la tribune Boulogne, des anciens
Boys et des jeunes veulent reprendre le pouvoir ". A la direction du club, Robin Leproux estime, lui, que " les gens qui sont dans la mouvance des fights, dans la provocation, ça dépasse le football ". Il dit avoir écrit, en décembre 2009, "
au préfet, au ministère de l'intérieur, à la Ligue, à la Fédération en
les sensibilisant sur ce point. C'est resté lettre morte ". Et envisage désormais des formules de vente de " billets nominatifs avec contrôle d'identité " pour les déplacements.Des
mesures qui semblent inutiles aux yeux des ultras parisiens, vu le
climat actuel. Le verdict d'un supporteur d'Auteuil est radical : "
Il n'y a aujourd'hui plus de cohabitation possible. Il faudra
l'élimination d'une des deux tribunes par les pouvoirs publics. "

Elle est là la solution pour le PSG. Ils doivent jouer dans un stade vide

3-0 contre Sochaux avec 2 buts du Kebab...

Erding je le veux trop chez nous

Calmos les gars!Z'avez vu qui y'a en face ce soir?il devrait y avoir 5 - 0 à la mi temps pour panam

J'espère que Sochaux viendra au Vélodrôme sans milieu défensif de formation et avec Dramé le chibre titulaire

triplé

Ils l'ont fait donc, se buter entre eux...

Foot - L1 - PSG
«Yann L. en état de mort clinique»
Yann L., le supporter du Paris-SG plongé dans le coma depuis son agression le 28 février en marge du match contre l'OM, serait «dans un état de mort clinique depuis vendredi», selon une source judiciaire citée dimanche par Le Parisien. Ce supporter de 37 ans est hospitalisé depuis deux semaines dans le service de neurologie de l'hôpital Beaujon de Clichy (Hauts-de-Seine).

Samedi, l'homme de 28 ans qui a reconnu avoir participé au tabassage a été déféré au parquet de Paris et mis en examen pour «tentative d'homicide volontaire». Ce sympathisant des Authentiks (selon le club parisien) avait été identifié sur des images vidéos où apparaissent aussi d'autres suspects. Il a été écroué à Fleury-Mérogis.

lepike

Ce qui nous fait 2 maccabées ramassés aux alentours du Parc en 4 ans, joli

Dont deux provenant du KOB, bizarre nan..?

Et ça te fait marrer quand on ramasse des maccabés ? Comme on est parisien on ne mérite que ça, c'est ça ?Boulevard d'Athenes n'oublie pas que mal des marseillais ont lapinés mais pour le voir fallait sortir de ton siege de bureau et voir ce qu'il se passait . Je ne reviendrais pas sur le pourquoi du comment de la non venue des marseillais à Paris, facile de faire les malins "chez soit". Se vanter d'une victoire "de rue" face aux parisiens et en même temps critiquer en parlant des deux morts autour du stade, c'est juste risible. Mais je vois que tu y arrives très bien, chapeau. Sinon, non Boulogne n'est pas une tribune raciste, je ne nie pas ce qui se passe et je demande aussi une grande fermeté. Malheureusement en faisant des raccourcis pareils on arrive à une répression exacerbée qui rend les déplacements invivables.

Ce que les imbéciles parisiens ne comprennent toujours pas c'est que les mecs qu'ils ont chauffé à blanc sur le Boulevard d'Athènes c'était pas des abonnés ou des supporters, mais juste des résidents de ce quartier qui n'ont pas hésité une seconde quand il a fallu défendre les vitrines de leur commerce, les terrasses de leur café, leur lieu de vie tout simplement, pris d'assaut par une horde de brigands finalement repartis la queue entre les jambes une fois en infériorité numérique, alors qui leur en voudra d'avoir voulu défendre leurs biens face à ces mêmes énergumènes qui se tapent entre eux sur la tronche tous les week-end et ne respectent rien ? Personne ici en tout cas, rentre toi le dans le crâne, vous êtes juste des cafards pour nous, alors si l'un de vous doit passer sous les roues d'un pauvre type qui se fait démolir sa caisse on ne le pleurera pas, bien au contraire

Et de ce côté là je t'annonce que je suis bien mieux informé que toi car j'ai 2 potes de fac qui y habitent et qui ont sauté dans la mêlée ce jour-là, eux qui ne faisaient que prendre un pot en centre-ville

Désolé, j'étais à ce moment là sur le vieux porc à regarder les mastres lapiner au rythme des lacrymo . Bref c'est bien beau de faire les malins à domicile et de boycotter le retour pour des pseudos affaires Ultra (juste mais ne nous voilons pas la face des réelles motivations du retrait). Pour un bilan de "victorieux" comme tu sembles le dire, c'est très maigre. Fin du sujet pour moi. Mais c'est bien, tu nous détestes on est content pour toi si ça t'amuse que des mecs cannent devant un stade. Quand les MTP se foutent en l'air sur l'autoroute, même si j'allume pas un cierge, j'vais pas m'en payer une bonne "ah qu'ils sont cons ses marseillais". Mais je suppose que toi un jeune qui se flingue sur la route, sous pretexte qu'il a bu, il méritait de crever, apres tout, il avait bu . En fait t'es juste un gros beauf

En tout cas qu'ils reposent en paix..

Oui et surtout que ça servent au prochain qui emprunteront cette voix surtout. Savoir que ça peut arriver de mal finir une fight. Courage surtout à la famille qui elle n'avait pas choisi d'avoir un fils/mari/pere qui aimait à ce point ce truc. Bref un drame à tous les plans

Y a toujours un truc que j'ai pas compris : comment après l'annulation du match aller, les parisiens ont réussi à se retrouver dans un guêpier sur le boulevard d'Athènes ? A pied, faut une heure pour y aller et en métro, faut s'arrêter sur la Canebière ou à la Gare St Charles, leur lieu de départ où ils auraient pu attendre leur train sans problème... Ils s'ennuyaient ?
Par contre Kob, je suis jaloux de ta vue : voir les évènements de la Rue d'Athènes depuis le Vieux Port.... Chapeau !
Pour le retour, peut-être que les Marseillais ont fait le bon choix de ne pas monter parce que clairement, vu ce qui s'est passé entre parisiens, on aurait eu des blessés graves, voire pire. Comme tu dis, ne nous voilons pas la face, un mec tabassé par plusieurs gars jusqu'à ce que mort (ou état de mort) s'en suivre, c'est un meurtre. Vous, parisiens qui avaient gueulé à l'assassinat quand un policier a abattu un des vôtres, vous avez fait la même chose sans même sourciller.
Que va-t-il se passer le 27 mars quand les Marseillais vont aller voir la finale de la CdL, vous allez chercher un Marseillais isolé dans la ville et le tabasser aussi ?
Ce qui s'est passé autour du parc est triste, c'est une perte pour sa famille, ses amis et pour le Kop de Boulogne qui ne méritait pas ça. Mais ce n'est pas la faute des Marseillais qui ont boycotté ne se sentant pas en sécurité (à tort ?), ni celles des policiers, du club parisien ou de celle du Pape !!! Ces évènements sont la faute uniquement des parisiens. Impardonnable et injustifiable.